21 juin 2009
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Genre : Fantasy urbaine
Titre français : Neverwhere
Editeur Anglais : Headline Review : 9,42€ (ce texte est le préféré de l'auteur, car il en existe plusieurs versions)
Editeur français : J'ai Lu : Indisponible
Sous les rues de Londres, il y a un endroit que la plupart des gens ne pourraient même pas rêver. Une ville de monstres et de saints, de meurtriers et d'anges, de cavaliers en armure et de filles pâles en velours en noir. C'est la ville des gens qui sont tombés dans l'oubli.
Richard Mayhew, un jeune homme d'affaires, va en découvrir plus qu'il n'en faut sur cet autre Londres - un seul acte de gentillesse le catapulte hors de son existence ordinaire et dans un monde qui est à la fois étrangement familier et complètement bizarre.
Et une étrange destinée l'attend en-bas, sous sa ville natale : Neverwhere.
Titre français : Neverwhere
Editeur Anglais : Headline Review : 9,42€ (ce texte est le préféré de l'auteur, car il en existe plusieurs versions)
Editeur français : J'ai Lu : Indisponible
Sous les rues de Londres, il y a un endroit que la plupart des gens ne pourraient même pas rêver. Une ville de monstres et de saints, de meurtriers et d'anges, de cavaliers en armure et de filles pâles en velours en noir. C'est la ville des gens qui sont tombés dans l'oubli.
Richard Mayhew, un jeune homme d'affaires, va en découvrir plus qu'il n'en faut sur cet autre Londres - un seul acte de gentillesse le catapulte hors de son existence ordinaire et dans un monde qui est à la fois étrangement familier et complètement bizarre.
Et une étrange destinée l'attend en-bas, sous sa ville natale : Neverwhere.
Voilà un livre qui me réconcilie avec Neil Gaiman, après ma grande déception à la lecture de Coraline, qui était bien trop prévisible pour moi. Ce livre m'a été offert par Celsmoon lors du London Swap, l'année dernière, et je me souviens qu'elle m'avait apporté mon paquet en venant visiter mon tout nouveau appartement, qui n'était meublé que de deux chaises;o)
Neverwhere est un roman de fantasy urbaine qui nous emmène dans le Londres d'en-dessous, qui est le reflet du Londres que nous connaissons mais qui ne connaît pas la même histoire et la même population. On pourrait dire que ce monde est peuplé de méchant, mais ce n'est pas tout à fait le cas.
On y rencontre des personnes innocentes comme Lady Door, la fille de Portico, qui peut ouvrir et créer n'importe quelle porte n'importe où. Elle en danger, et en essayant d'échapper à ses poursuivants, des tueurs à gages, Mr Croup et Mr Vandemar, elle tombe sur Richard Mayhew qui vient à son secours.
***RISQUE DE SPOILERS***
Richard est un homme tout ce qu'il y a de plus ordinaire, avec une vie tout ce qu'il y a de plus ordinaire, et il n'est pas vraiment heureux dans cette vie, même s'il prétend le contraire, avec sa fiancée, Jessica, qui joue sans cesse le boss, et sa collection de trolls au bureau. En aidant Door, sa vie va radicalement changer. Lorsqu'il se présente à son travail et que personne ne lui parle, il croit à une blague, lorsqu'il se rend compte qu'il n'a plus de bureau il s'en va. Son appartement est mis en location et ses affaires vendues. Richard Mayhew est tombé dans l'oubli, il est devenu comme invisible. Il part alors à la recherche de Door, pour faire en sorte de retrouver sa vie. Il se retrouve alors dans le monde d'en-dessous, aidé par les gens qui parlent le rat. Il se rend au marché flottant, et il y retrouve Door, alors à la recherche d'un garde du corps. Il se retrouve dans une quête pour trouver l'Ange Islington, le seul qui pourra aider Door, mais l'Ange n'est pas ce qu'il paraît.
Richard trouvera une nouvelle destinée dans le London Below, il deviendra le plus grand guerrier, celui qui a tué la Bête de Londres. Mais il voudra revenir à sa vie d'avant. Mais lorsqu'il revient après un voyage Majorque paraît-il, promu dans son travail, avec le retour de Jessica, il se rend compte que cette vie ne lui va pas.
*** FIN RISQUE DE SPOILERS***
Ce roman met en scène un nouveau Londres, et vraiment, je ne verrai jamais plus l'Underground londonnien de la même manière, les stations notamment, et les trames. La prochaine fois que je vais à Londres, je regarderai plus attentivement les trames pour voir s'il y a un wagon tout sombre dont personne ne descend. Et je n'attendrai plus non plus trop près des rails, de peur de voir une de ces bêtes noires à tentacules qui sortent de ce fameux trou pour essayer de vous attraper. Pas étonnant qu'on nous dise "Mind the Gap".
Ce roman est également très visuel, le s images viennent facilement, mais finalement ce n'est pas étonnant, car il est adapté de la série du même nom dont le scénario a été écrit par Gaiman. Le texte que j'ai lu est le préféré de l'auteur, le dernier avec les dernières modifications, car il en existe plusieurs version. Si j'ai bien compris, il y avait une version anglaise et une version américaine, et la mienne est un mixe des deux. Prochaine étape, voir la série!
J'ai beaucoup aimé aussi les personnages, je me suis beaucoup attaché à eux. Richard Mayhew est comme moi, et comme beaucoup de gens, il essaie de se persuader qu'il est heureux dans sa vie, et que ça lui suffit. Il a peur de ce nouveau monde, mais en même temps il est complètement fasciné, et il finira par se rendre compte qu'il est fait pour ce monde.
Door, elle, est innocente en quelque sorte, et d'une grande gentillesse. Mais égoïste. Au début elle sais qu'elle a changé la vie de Richard et ne s'en préoccupe pas plus que ça. Mais finalement, elle fera ce qu'elle pourra pour l'aider.
Le Marquis de Carabas est un dandy, qui pourrait taper un peu sur les nerfs de par son Je-m'en-foutisme et son Je-sais-tout. Mais je l'adore. Je crois bien que c'est mon personnage préféré dans ce roman, mais je pense que c'est parce qu'il me fait beaucoup pensé à Christopher Chant dans la fonction de Chrestomanci de Diana Wynne Jones, le côté Dandy, je fais attention à mon apparence, et le côté maniéré.
En revanche, les méchants Croup et Vandemar m'ont tapé sur les nerfs, même si j'aime beaucoup leur humour ("on ne fait pas une omelette sans tuer quelques personnes" citation qui m'a fait sourire, et que j'avais déjà lu chez Isil)
J'ai eu peur à la fin, lorsque Richard est retourné à sa vie. J'étais déçue que ça se termine de cette manière, mais heureusement il y a un dernier retournement de situation, ouf.
Tout ça pour dire que c'est un livre à lire absolument, et surtout rien que pour avoir une nouvelle vision de Londres, où Earl's Court est une véritable court, où il y a un arrêt Underground British Museum.
Retrouvez les avis d'Isil, Karine, et Ys
Neverwhere est un roman de fantasy urbaine qui nous emmène dans le Londres d'en-dessous, qui est le reflet du Londres que nous connaissons mais qui ne connaît pas la même histoire et la même population. On pourrait dire que ce monde est peuplé de méchant, mais ce n'est pas tout à fait le cas.
On y rencontre des personnes innocentes comme Lady Door, la fille de Portico, qui peut ouvrir et créer n'importe quelle porte n'importe où. Elle en danger, et en essayant d'échapper à ses poursuivants, des tueurs à gages, Mr Croup et Mr Vandemar, elle tombe sur Richard Mayhew qui vient à son secours.
***RISQUE DE SPOILERS***
Richard est un homme tout ce qu'il y a de plus ordinaire, avec une vie tout ce qu'il y a de plus ordinaire, et il n'est pas vraiment heureux dans cette vie, même s'il prétend le contraire, avec sa fiancée, Jessica, qui joue sans cesse le boss, et sa collection de trolls au bureau. En aidant Door, sa vie va radicalement changer. Lorsqu'il se présente à son travail et que personne ne lui parle, il croit à une blague, lorsqu'il se rend compte qu'il n'a plus de bureau il s'en va. Son appartement est mis en location et ses affaires vendues. Richard Mayhew est tombé dans l'oubli, il est devenu comme invisible. Il part alors à la recherche de Door, pour faire en sorte de retrouver sa vie. Il se retrouve alors dans le monde d'en-dessous, aidé par les gens qui parlent le rat. Il se rend au marché flottant, et il y retrouve Door, alors à la recherche d'un garde du corps. Il se retrouve dans une quête pour trouver l'Ange Islington, le seul qui pourra aider Door, mais l'Ange n'est pas ce qu'il paraît.
Richard trouvera une nouvelle destinée dans le London Below, il deviendra le plus grand guerrier, celui qui a tué la Bête de Londres. Mais il voudra revenir à sa vie d'avant. Mais lorsqu'il revient après un voyage Majorque paraît-il, promu dans son travail, avec le retour de Jessica, il se rend compte que cette vie ne lui va pas.
*** FIN RISQUE DE SPOILERS***
Ce roman met en scène un nouveau Londres, et vraiment, je ne verrai jamais plus l'Underground londonnien de la même manière, les stations notamment, et les trames. La prochaine fois que je vais à Londres, je regarderai plus attentivement les trames pour voir s'il y a un wagon tout sombre dont personne ne descend. Et je n'attendrai plus non plus trop près des rails, de peur de voir une de ces bêtes noires à tentacules qui sortent de ce fameux trou pour essayer de vous attraper. Pas étonnant qu'on nous dise "Mind the Gap".
Ce roman est également très visuel, le s images viennent facilement, mais finalement ce n'est pas étonnant, car il est adapté de la série du même nom dont le scénario a été écrit par Gaiman. Le texte que j'ai lu est le préféré de l'auteur, le dernier avec les dernières modifications, car il en existe plusieurs version. Si j'ai bien compris, il y avait une version anglaise et une version américaine, et la mienne est un mixe des deux. Prochaine étape, voir la série!
J'ai beaucoup aimé aussi les personnages, je me suis beaucoup attaché à eux. Richard Mayhew est comme moi, et comme beaucoup de gens, il essaie de se persuader qu'il est heureux dans sa vie, et que ça lui suffit. Il a peur de ce nouveau monde, mais en même temps il est complètement fasciné, et il finira par se rendre compte qu'il est fait pour ce monde.
Door, elle, est innocente en quelque sorte, et d'une grande gentillesse. Mais égoïste. Au début elle sais qu'elle a changé la vie de Richard et ne s'en préoccupe pas plus que ça. Mais finalement, elle fera ce qu'elle pourra pour l'aider.
Le Marquis de Carabas est un dandy, qui pourrait taper un peu sur les nerfs de par son Je-m'en-foutisme et son Je-sais-tout. Mais je l'adore. Je crois bien que c'est mon personnage préféré dans ce roman, mais je pense que c'est parce qu'il me fait beaucoup pensé à Christopher Chant dans la fonction de Chrestomanci de Diana Wynne Jones, le côté Dandy, je fais attention à mon apparence, et le côté maniéré.
En revanche, les méchants Croup et Vandemar m'ont tapé sur les nerfs, même si j'aime beaucoup leur humour ("on ne fait pas une omelette sans tuer quelques personnes" citation qui m'a fait sourire, et que j'avais déjà lu chez Isil)
J'ai eu peur à la fin, lorsque Richard est retourné à sa vie. J'étais déçue que ça se termine de cette manière, mais heureusement il y a un dernier retournement de situation, ouf.
Tout ça pour dire que c'est un livre à lire absolument, et surtout rien que pour avoir une nouvelle vision de Londres, où Earl's Court est une véritable court, où il y a un arrêt Underground British Museum.
Retrouvez les avis d'Isil, Karine, et Ys