Retrouvez la bio- et biobliographie de Karen marie Moning ici
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Genre : Bit-Lit, Urban Fantasy
Série : Fever / McKayla Lane
Titre français : Fièvre rouge
Editeur américain : Dell Romance : 6,49€
Editeur français : J'ai Lu (Indisponible)
Traduction personnelle de la quatrième de couverture
La vie ordinaire de MacKayla Lane a connu un changement radical lorsqu'elle a posé les pieds en Irlande et s'est retrouvée plongée dans un monde de sorcellerie mortelle et de secrets anciens.
Dans sa lutte pour rester en vie, Mac doit trouver le Sinsar Dubh, un livre de magie la plus noire imaginable, vieux d'un million d'années, et qui détient la clé du pouvoir sur les mondes des Faes et des Humains. Poursuivie par des assassins Fae, entourée par des personnages mystérieux auxquels elle sait qu'elle ne peut pas faire confiance, Mac est partagée entre deux hommes dangereux et irrésistible : V'lane, le Fae insatiable qui peut transformé l'excitation sexuelle en obession pour n'importe quelle femme, et l'éternellement impénétrable Jericho Barrons, un homme autant séduisant qu'il est mystérieux.
Pendant des siècles, le royaumes des ombres des Fae a coexisté avec celui des humains. Maintenant les murs entre les deux tombent, et Mac est la seule chose qui se tient entre les deux...
Merci à Hydro pour le cadeau. Elle m'avait déjà offert le premier, Darkfever, et j'ai pu continuer ma lecture grâce à elle. Autant j'avais beaucoup apprécié le premier, Mac me faisait rire, et j'aimais cette vision de l'Irlande et de son folklore qui prend vie.
Malheureusement pour ce second tome, ces éléments n'ont pas été suffisants pour me satisfaire. Mac est toujours à la recherche du Sinsar Dubh, avec Jericho Barrons. Mais dans ce tome Mac m'a tapé sur les nerfs. Je ne pourrais pas trop dire pourquoi précisément.
Bon je ne dis pas que j'ai détesté ma lecture, mais je la qualifierais de passable, ce qui pour moi n'est pas terrible quand même. En fait, ce qui m'a vraiment gênée c'est l'intrigue qui n'avance pas. On a commencé à un certain point, et finalement on finit au même point.
En revanche, j'avoue que j'ai apprécié la scène du combat-mamours entre Mac et Jericho à la fin. Mais on n'en sait toujours pas plus sur Barrons et ça c'est énervant...